22 octobre Réjean Paulin La perte d’un compagnon Fin de l'édition papier pour L'Express d'Ottawa L’Express d’Ottawa, hebdomadaire membre de l’Association de la presse francophone, disparaît des kiosques et...
Pour l'ACF, Trudeau c’est un vent d’espoir REGINA - Françoise Sigur-Cloutier, présidente de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) accueille avec un certain...
Rendez-vous fransaskois 2015: Élan 2020, une discussion sur l’avenir À la veille du Rendez-vous fransaskois, qui se déroulera les 6, 7 et 8 novembre prochains à Regina,...
Le Collège Mathieu s'internationalise GRAVELBOURG - Le Collège Mathieu, basé à Gravelbourg, a reçu la désignation du ministère...
Les experts cherchent l’aide du public pour sauver le caribou SASKATOON - Des chercheurs lancent un programme de recherche pour sauver le caribou des bois, une espèce considérée comme...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6323 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer