19 août Coup d'oeil sur le monde Kaboul : un an déjà L’humanité est volatile. À petite ou grande échelle, ça éclate toujours quelque part. Quand ça dure trop longtemps, on s’habitue, on...
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Le grand « capitaine Nelson » du théâtre fransaskois a toujours fait couler beaucoup d’encre Le dramaturge et écrivain Ian C. Nelson, anglais d’origine et fransaskois d’adoption, est à l’origine d’une productivité...
7,1 millions de dollars pour le postsecondaire fransaskois La Cité universitaire francophone de l’Université de Regina et le Collège Mathieu viennent de bénéficier d’un budget de plus de 7,1...
Les évêques «manquent de capacités» pour la réconciliation FRANCOPRESSE – Le pape François a demandé pardon pour «le mal commis» aux peuples autochtones et «en particulier, pour la...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6176 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer