18 juillet International Un second bureau de visas en Afrique subsaharienne pour le Canada Sean Fraser, ministre d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, a confirmé qu’un deuxième bureau des visas africain ouvrira dans...
De multiples talents au Shack des femmes L’organisme Entr’Elles, précédemment connu sous le nom de Fédération provinciale des Fransaskoises, a présenté lors du Festival...
Des tambours royaux au cœur de la fransaskoisie Le groupe percussionniste réginois Abahebera, terme qui signifie « dévoué au tambour » en kirundi, une langue du Burundi, a...
Un festival, enfin, en face à face « On était dus, c’est ce dont on avait besoin », a lancé Anne Brochu-Lambert, présidente du Conseil culturel fransaskois (CCF),...
Cinquante ans de mouvement jeunesse fransaskoise L’auteur-compositeur-interprète Shawn Jobin, qui est aussi agent aux communications, directeur artistique, animateur et programmateur à...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6186 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer