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1 septembre Postsecondaire Collège Mathieu : une nouvelle Charte pour une nouvelle ère Une nouvelle époque s’ouvre pour le Collège Mathieu qui vient de renouveler sa charte le 17 août. Alors que l’Église catholique ne...
Les artistes fransaskois répertoriés dans un bottin Le 6 juin, le photographe et informaticien Daniel Paquet a lancé SaskArtistes.ca, un nouveau bottin en ligne qui facilite la recherche...
Le gardiennage de maison : une vie atypique à travers le monde Bichonner, jardiner, flatter, entretenir, nettoyer ou désherber, à première vue cela ne ressemble en rien à des vacances. Et pourtant, le...
« Avec un peu de cœur, on peut déplacer des montagnes » Hugo Lambert, 24 ans, a entrepris le 19 juillet une traversée du Canada à vélo de Vancouver à Montréal. Sur près de 5 000 km, il pédale pour...
Les Fransaskois célèbrent leur héritage Depuis le début de l’été, plusieurs communautés fransaskoises ont profité de la période estivale et de la diminution des restrictions...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6176 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer