18 décembre La vie des élèves Addison Shyluk, jeune Fransaskoise passionnée, lauréate d’un concours international Addison Shyluk, élève en 11e année à l’École canadienne-française de Saskatoon, Pavillon Gustave-Dubois, vient de remporter le concours...
Pandémie : cinq artistes fransaskois racontent leur adaptation En cette fin d’année, L’Eau vive relate comment cinq artistes se sont adaptés à la pandémie, entre déceptions et créations.
Liberté d'expression ou liberté de faire taire ? La pandémie n'est pas la seule source de division dans la société canadienne. Les causes légitimes de mécontentement et d'inquiétude sont...
TAO Tel-Aide : venir en aide, un appel à la fois Le Réseau Santé en français de la Saskatchewan a annoncé, le 1er décembre, l’activation de la ligne téléphonique TAO Tel-Aide en...
De nouveaux députés prêts à représenter leur communauté Le 29 novembre, l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) a tenu ses élections générales qui ont lieu tous les trois ans. Parmi...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6323 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer