8 février Santé Les vaccins expliqués par une technicienne de recherche en virologie Vitalité 55+ Saskatchewan a organisé le 26 janvier une présentation en ligne sur les vaccins.
Annulation de Keystone XL : un coup dur pour l’Ouest canadien L'annulation de l'extension de l'oléoduc Keystone XL signifie que la Saskatchewan doit diversifier davantage son économie
La communauté réaffirme son soutien au projet de Prince Albert Le ministre de l’Éducation a rencontré les présidences d’organismes fransaskois afin de discuter du projet de nouvelle école...
Éducation en français sous respirateur artificiel Ça va mal dans le monde de l’éducation universitaire en français en Ontario
La notation humanitaire, un « soulagement » pour la population étudiante Des universités canadiennes ont adopté un système de notation où les étudiants peuvent désormais choisir la mention « réussite » ou...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6308 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer