21 janvier Communautaire Frédérique Baudemont - Nouvelle directrice adjointe du RSFS Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS) a annoncé l'embauche de Frédérique...
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L'intolérance raciale dans la fransaskoisie Sommes-nous une menace à notre propre développement? Il me semble que de nouvelles menaces à notre vitalité et notre existence aient fait surface en 2016. J’ai beau ne plus faire partie du...
La solitude C’est rare qu’on a envie de parler de la solitude et pour cause. En fait, souvent quand on le fait, comme la maladie mentale, on la...
Femmes et filles autochtones disparues et assassinées Kâ-têpwêt, ou « qui appelle? », est un court métrage d’Isabelle Perron Blanchette, qui aborde...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6428 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer