15 juillet Francophonie 105 ans, ça se souligne! « Un peuple sans mémoire est un peuple sans avenir » - Aimé Césaire L’anniversaire que je vous invite à célébrer cette semaine n’est pas celui d'une parente, ni celui d'une personne...
Discussions sur le 'futur présent' au congrès de l'Association de la presse... Le défi numérique de nos journaux francophones REGINA - Depuis plusieurs années déjà, la question de la disparition probable du journal papier est une inquiétude qui...
« L’immersion francophone est l’une des expériences éducatives les mieux... Progression de l’immersion française malgré les obstacles En cinq ans, la médiane des inscrits à l’école d’immersion dans les provinces est passée de 8,4 à...
TFO sollicite des appuis Un nouveau service de télévision francophone veut s’étendre au pays La chaîne de télévision éducative de langue française TFO, dont la grille horaire est dédiée...
Rapport du comité sénatorial des langues officielles Des jeunes de moins en moins bilingues Le comité sénatorial des langues officielles a déposé la semaine dernière son rapport sur l’étude...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6275 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer