15 juillet Littérature Un ouvrage dédié à la beauté de la Saskatchewan Lancement de « Lignes de fuite » de David Baudemont Les textes de David Baudemont sont d’une rare douceur et d’une beauté sincère. Cet artiste sensible a su nous faire partager ses...
Le théâtre des aînés fransaskois à la Fête fransaskoise La Fédération des aînés fransaskois était présente à la Fête fransaskoise. Le dimanche matin...
Des contes fransaskois et africains à savourer en plein air Première d’Entre plaine et savane à la Fête fransaskoise La Troupe du Jour a profité de la Fête fransaskoises pour amorcer la tournée de son spectacle Entre plaine et savane qui fera...
Écoles résidentielles: Comment aller de vérité à réconciliation ? Après avoir publié son rapport, la Commission de vérité et réconciliation (CVR) prépare l’avenir...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6275 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer