24 août Écoles fransaskoises Des parents provoquent une Assemblée générale extraordinaire Le Conseil scolaire fransaskois doit convoquer ce mercredi 26 août, une Assemblée générale exceptionnelle (AGE), au...
Radio-Canada comme enjeu électoral: silence radio Dès le début de la campagne électorale on aurait été en droit de s’attendre à ce que...
Le CCF cherche des fonds pour exporter ses artistes REGINA - Le Conseil culturel fransaskois, organisme porte-parole de la communauté culturelle et artistique francophone, demande...
Quelle présence donner aux francophones dans les événements multiculturels Entre la tourtière et la poutine Dans les années quatre-vingt-dix, on se questionnait sur la valeur d’être présent dans les manifestations...
Folkfest: les bonnes recettes du pavillon francophone SASKATOON - « Le pavillon francophone est le lieu où les gens aiment venir manger » affirme Éric Lefol,...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6275 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer