15 septembre Politique Les chefs se font (enfin) entendre dans des débats On serait porté à croire qu’en 2015, il est plus facile que jamais de connaître le point de vue des candidats qui...
Irène Chabot, Maria Lepage et Laurent Lalonde partagent leurs expériences de... Témoignages de bénévoles Propos recueillis par Michel Vézina et Ahmed Hassan Farah
À la paroisse St-Jean-Baptiste, la foi mobilise les volontaires Au sein de la seule église francophone de Regina, pas besoin de battre le rappel pour faire participer les paroissiens aux diverses...
Bénévolat: Les associations s’adaptent comme elles peuvent Parfois confrontées au manque de bras, les associations doivent trouver des solutions alternatives...
« Il faut encourager et valoriser l’engagement » SASKATOON - Danielle Raymond, directrice générale sortante de l’Association des parents...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6275 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer