10 septembre Prince Albert La SCFPA ouvre sa saison dans l’optimisme PRINCE ALBERT - La Société canadienne française de Prince Albert (SCFPA) a lancé sa nouvelle saison 2015-16....
Michel Marchildon : « pour nous Léon était un géant » Texte d’hommage de Michel Marchildon aux funérailles de son père.
Dernier hommage à Léon Marchildon ZENON PARK - Le 5 septembre 2015 environ 250 personnes ont convergé vers l’église de Zenon Park pour les...
Rencontre avec le pasteur Ali (Église luthérienne) de Saskatoon Le bénévolat pour combattre l’égoïsme rampant dans la société Les yeux pétillants, la parole généreuse, le révérend Ali Tote, 44 ans,...
AGE du CSF: trois heures d'échanges difficiles Très attendue, l’Assemblée générale extraordinaire du Conseil scolaire fransaskois (CSF) n’a pas...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6275 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer