27 avril Autochtones / Métis Trois plumes, ou la puissance de la justice réparatrice Le roman graphique « Trois Plumes » de Richard Van Camp est disponible dans une traduction française inédite aux Éditions de la...
Le mensonge des reflets: un travail d'artistes francophones rapprochés par la pandémie Huit artistes francophones, dont deux fransaskois, avaient 48 heures pour créer une œuvre commune à distance. À vois dans l'émission...
Le destin croisé des francophones et Autochtones Les liens entre Autochtones et francophones sont encore peu étudiés au Canada
Une présence francophone discrète à la librairie McNally Robinson Véritable institution dans l’Ouest canadien, McNally Robinson est la plus grande librairie indépendante au Canada, disposant de deux...
Il y a urgence d’agir en éducation postsecondaire en français Disparition de programmes à l’Université Laurentienne, compressions au Campus Saint-Jean et à l’Université de Moncton, budget à...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6275 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer