4 février Autochtones / Métis Une leçon d’anthropologie à l’Université de Regina REGINA - Le monde est vaste et la diversité des savoirs et des cultures humaines l’est encore plus. C’est ce que nous a...
Des élèves voudraient une heure de... 60 minutes SASKATOON - C’est une délégation de jeunes élèves de l’École canadienne-française de...
Assemblée annuelle du Conseil scolaire fransaskois : Une soirée bien tranquille SASKATOON - Le vendredi 30 janvier, le Conseil scolaire fransaksois (CSF) a rencontré ses électeurs pour la première fois...
Galala : une série prometteuse haute en couleurs SASKATOON - Unis, la nouvelle chaine-télé associée à TV5, gagne à être connue. Avec le Galala, elle offre...
Première édition du Grand Quiz à Ponteix PONTEIX - Mardi 27 janvier, dans le cadre d’un sympathique 5 à 7, au Centre culturel Royer, les membres de la communauté...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6188 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer