12 juillet Musique Anique Granger brille de mille trilles L’auteure-compositrice-interprète fransaskoise Anique Granger a remporté de grands honneurs lors des galas Trille Or qui se sont déroulés en...
Rapprochement estival pour des familles fransaskoises et montréalaises L’organisme québécois à but non lucratif Ruelle de l’avenir a offert un camp virtuel hybride et gratuit aux familles montréalaises et...
CAFS : une AGA sous le signe du consensus La Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan se montre résiliente malgré les contraintes de la pandémie lors de son...
Les communautés religieuses francophones au cœur des pensionnats Pendant plus de 80 ans, l’Église catholique avait géré l’ancien pensionnant autochtone de Marieval, où 751 tombes ont...
Un passé francophone au cœur des États-Unis Ste. Geneviève, une petite ville du Missouri, dévoile son passé francophone peu connu et constitue une destination touristique...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6272 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer