25 juin Politique Renforcer les liens bilingues entre services d'aide à l'établissement La Saskatchewan Association of Immigrant Settlement and Integration Agencies veut renforcer les liens entre anglophones et...
Sitting Bull : sur les pistes d’un guerrier qui cherchait la paix Sitting Bull est un guerrier et dirigeant lakota devenu célèbre à la suite de la défaite de George Custer lors de la bataille...
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Trois artistes posent leur regard sur l’héritage linguistique du colonialisme La conférence en français Les langues dans l’ombre des colonialismes était une initiative du Musée d’art MacKenzie de Regina...
Léguer son histoire, un travail de réminiscence Auteure des livres et du jeu de cartes Léguez votre histoire, l'écrivaine Nancy Mbatika propose des ateliers qui explorent, avec...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6275 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer