28 septembre Francophonie L’Ordre des francophones d’Amérique remis à Monsieur Michel Dubé Monsieur Michel Dubé est le récipiendaire de l’Ordre des francophones d’Amérique, une reconnaissance remise...
Table des élus: les écoles fransaskoises au cœur des discussions SASKATOON- Les présidences des organismes fransaskois ont eu une journée productive où plusieurs enjeux de la...
Centre de la francophonie des Amériques : De zéro à 40 000 membres en dix ans Le Centre de la francophonie des Amériques compte désormais 40 000 membres depuis sa création il y a dix ans.
Conférence de Serge Bouchard Transmettre sa langue : Aimer pour parler L’histoire d’un « amour intégral », racontée par Serge Bouchard à travers 50 ans...
L'Université d'Ottawa et le programme de Contestation judiciaire Le nouveau Programme de contestation judiciaire fournira un appui annuel de 5 millions $ pour la défense des droits linguistiques et des droits de...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6467 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer