12 octobre Politique Le bilinguisme fédéral selon Charles Le Blanc « Le français n’est pas pris au sérieux dans la fonction publique » À la suite du dévoilement par Radio-Canada d’un rapport interne sur le bilinguisme dans la fonction publique...
Place aux femmes : une initiative citoyenne et solidaire p.p1 {margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; text-align: justify; line-height: 13.0px; font: 11.0px 'Trebuchet MS'; -webkit-text-stroke: #000000}...
Netflix: Mélanie Joly est-elle encore crédible ? La ministre du Patrimoine a été critiquée pour une entente de 500 millions $ avec le producteur et diffuseur Netflix.
Rencontre avec Michel Vézina, le conseiller démissionnaire de Gravelbourg Le conseiller municipal de Gravelbourg, Michel Vézina, a démissionné de ses fonctions pour protester contre l’envoi...
La Trahison : un regard unique sur le soulèvement des Métis Le Théâtre Oskana a présenté sa pièce de théâtre La Trahison, du 21 au 23 septembre dernier, à Regina.
25 mars 2024 Pierrette Requier 6484 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer