10 novembre Guerre et enjeux militaires « La guerre résout très peu », John Babcock « La guerre résout très peu, » disait John Babcock qui, lors de notre entrevue, avait 108 ans. Témoin de plus d’un siècle...
Surpeuplement dans les écoles fransaskoises Le Conseil scolaire fransaskois se tourne vers les tribunaux Lors d’une vidéoconférence extraordinaire, le 7 novembre dernier, les conseillers scolaires fransaskois ont voté, à l’unanimité, afin...
Des pissenlits pour nettoyer les résidus miniers Les méthodes traditionnelles employées afin de remédier aux problèmes de contamination des sols consistent à...
Semaine nationale de l'immigration : lancement de la cinquième édition! Le Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF-SK) a effectué le lancement de la cinquième édition de la...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6484 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer